Cequi finit toujours pas vous déconcerter, c’est que même s’il ne vous aime pas, l’autre ne se décide pas non plus à vous laisser partir. Cela vous rend confus. Si vous aimez cette personne, vous finissez par vous convaincre que votre partenaire vous aime, bien que de manière étrange, que c’est sa façon à lui de vous aimer.
Avec les licenciements économiques qui viennent d’avoir lieu, je fais plus de travail qu’avant, ça mérite une augmentation »Pourquoi cette phrase tue ?Parce que, comme le début de la phrase l’indique, le surplus d’activité n’est pas dû à un carnet de commandes en hausse et à une santé florissante de l’entreprise, mais à des difficultés économiques. Qu’un salarié dont l’emploi a été préservé vienne se plaindre de sa rémunération donne instantanément une image de grand égoïsme, d’intérêt personnel aux dépens de l’intérêt collectif. À la limite le manager va même se demander s’il a choisi de faire partir les bonnes personnes. En tout cas, le demandeur est sûr de créer de la rancœur, d’autant que dans ces circonstances, il est fort probable que le manager n’aura de toute façon aucune marge de manœuvre », argumente Marc Devillard, PDG de Motivation Factory. On relève de telle convention collective qui prévoit une augmentation annuelle de tant, donc je veux être augmenté »Pourquoi cette phrase tue ?Parce qu’on n’est pas à la Sécu. En soi, la demande du collaborateur n’est pas fausse mais dans le secteur privé, cela ne passe pas. J’octroie des augmentations en fonction des résultats et de l’attitude des membres de mon équipe. Se revendiquer d’un accord de branche ou d'une convention collective ne sert donc à rien », illustre Karine Doukhan, directrice au sein du cabinet de recrutement Robert Half. Si je n’ai pas d’augmentation, je m’en vais. De toute façon, j’ai de meilleures propositions ailleurs »Pourquoi cette phrase tue ?Parce que c’est tout simplement du chantage, une arme à utiliser avec beaucoup de précautions. Il est possible qu’une menace directe donne de bons résultats, mais elle ne le fera qu’une seule fois, parce que selon toute probabilité, le manager sait désormais que ce chantage peut se répéter. Sa seule ligne de défense est de rendre le salarié en question remplaçable le plus rapidement possible pour sortir du chantage, et là les menaces n’auront plus d’effet. Sans compter que le message envoyé je me plairais plus ailleurs » ne tombe en principe pas dans l’oreille d’un sourd pourquoi investir en plus sur un employé qui vous dit explicitement que son avenir est ailleurs ? Il y a donc une probabilité élevée que le manager prenne cette posture pour un bluff et refuse instantanément. Au final, le candidat n’aura pas eu son augmentation, mais aura considérablement dégradé son image auprès de son manager, apparaissant désormais comme "en partance" », conclut Marc des refus d'augmentation ? C'est peut-être le moment de regarder ailleurs en créant un alerte sur les postes qui vous intéresse J’ai donné mon maximum cette année, je dois donc être augmenté »Pourquoi cette phrase tue ?Parce que ce n’est pas à vous de vous auto-évaluer mais à votre manager. Avec ce genre de phrase, le salarié se piège lui-même en montrant qu’il atteint à ses propres limites et réduit donc l’envie de lui accorder une augmentation car il semble avoir déjà tout donné », argumente-t-elle. J’ai autant d’expérience qu’untel qui vient d’être augmenté, je peux donc moi aussi prétendre à une hausse salariale »Pourquoi cette phrase tue ?Parce que cette affirmation contient un double problème. D’abord, à part dans la fonction publique, les augmentations à l’ancienneté sont quand même rarissimes. Et puis, deuxième hic se comparer aux autres. Chez nous, il y a effectivement des nouveaux collaborateurs qui sont rapidement augmentés car leurs résultats et attitude sont remarquables. En revanche, ceux qui s’endorment et/ou ronronnent ne seront pas gratifiés. Et ce, quelle que soit leur ancienneté. La méritocratie est de mise », ajoute Karine aussi Notre vidéo conseil sur la rémunération pour les jeunes diplômés Je n’ai été augmenté depuis 5 ans, ça commence à bien faire »Pourquoi cette phrase tue ?Parce que cela indique l’incapacité du salarié à se remettre en question. Quand on m’oppose ce genre de phrase, je réponds toujours mais posez-vous la question de savoir pourquoi vous n’êtes pas augmenté. Est-ce une question de résultat, d’attitude, ou les deux », explique-t-elle. Surtout ne pas être dans la paranoïa, une non augmentation a toujours une explication. Si je ne suis pas augmenté, je vais adapter ma charge de travail en conséquence »Pourquoi cette phrase tue ?Parce que cela revient en fait à s’auto-augmenter et les employeurs n’apprécient guère. En effet, faute d’augmentation, vous vous apprêtez à moins travailler. Donc mathématiquement à booster votre taux horaire. Ce type de phrase incite encore davantage les managers à ne pas investir sur le collaborateur. Et donc vous voilà dans un cercle vicieux dans lequel vous ne ferez pas partie des personnes clairement identifiés et donc vos chances de voir votre salaire progresser s’amenuisent. La solution ? S’auto-augmenter mais discrètement et avec faire progresser sa rémunération ? Consultez notre article dédié pour en savoir plus.
TOUTse sait en dans ce milieu depuis toujours. Mais le silence est d’or. « On ne voit bien qu’avec le coeur, l’essentiel est invisible pour les yeux. A l’aube de cette nouvelle année, je fais le rêve et formule le voeu que cette magnifique pensée soit le leitmotiv de tous ceux qui oeuvrent pour un monde meilleur.
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois portugais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche não fazia ideia do que não sabia... o que não tinha ideia do que não saber o que não sabia o quenão sei o que não sabias o que Je devais vous éloigner de la police, mais ne savais pas ce que vous saviez. Je ne savais pas ce que cette machine lui ferait. Je ne savais pas ce que ces coûts pourraient être. Je ne savais pas ce que Nisa voulait. Je ne savais pas ce que ça voulait dire jusqu'à maintenant. Je ne savais pas ce que tu étais avant notre arrivée... Mais à l'époque, je ne savais pas ce que je faisais. Comme si je ne savais pas ce que c'est. Je ne savais pas ce que Rachel allait faire. Tu ne savais pas ce que tu faisais. Je ne savais pas ce que je pouvais leur raconter. Je ne savais pas ce que je subissais ni qui pouvait m'aider. Je ne savais pas ce que je pourrais découvrir au couvent. Je ne savais pas ce que tu ressentais pour lui. Tu ne savais pas ce que tu faisais. Você não sabia que estava a fazer alguma coisa errada. Vous savez, je ne savais pas ce que je faisais à l'époque. Je ne savais pas ce que tu aimais. Comme si tu ne savais pas ce que tu fais. Je ne savais pas ce que solitaire signifiait. Je ne savais pas ce que tu préparais. Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 267. Exacts 267. Temps écoulé 263 ms.
Matthieu12 6 Or, je vous le dis, il y a ici quelque chose de plus grand que le temple. 7 Si vous saviez ce que signifie: Je prends plaisir à la miséricorde, et non aux sacrifices, vous n'auriez pas condamné des innocents. 8 Car le Fils de l'homme est maître du sabbat.
Hey, t’as reçu mon message ? » Salut, tu fais la tête ? » Je ne comprends pas trop ce qui se passe. Réponds moi dès que tu as ce message. » Ok, j’ai compris. Bye » On a toutes un jour été confrontées à ce genre d’infamie sournoise le silence radio d’une personne qui nous plaît et/ou avec qui on a partagé des choses plus ou moins intimes. Vous lui avez envoyé un message sur Facebook ou par texto, vous SAVEZ qu’il l’a lu damn technology, mais sa réponse se fait désespérément attendre… Vous commencez à paniquer et à concerter vos copines pour une réunion de crise. Pourquoi faites-vous face à ce blanc ? Déjà , il faut savoir que les hommes approchent la communication en général – et à fortiori les messages écrits – de manière totalement différente des femmes. Contrairement à nous, ils ne voient pas les textos et autres petits messages comme le baromètre d’une relation. Nous avons en effet tendance à prêter bien trop d’importance à ce moyen de communication en pensant qu’il quantifie de manière absolue l’attention que l’autre nous porte. Or, la raison pour laquelle votre crush/mec/target ne vous répond pas ou met trop de temps à répondre varie d’un homme à l’autre… Mais ne désespérez pas ; il y a tout de même plusieurs explications possibles. Voici les 10 causes les plus plausibles de son silence ! >> Accès IMMÉDIAT aux 5 Conseils pour Devenir une Femme Fatale 3 questions innocentes qui éveillent son amour et son envie de s’engager
Néanmoins sachant que ce n'est pas par les oeuvres de la loi que l'homme est justifié, mais par la foi en Jésus-Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ, afin d'être justifiés par la foi en Christ et non par les oeuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les oeuvres de la loi. Martin Bible
Salutations de la lumière qui fait collectivement partie de votre propre être ! Pouvez-vous saluer la lumière d’un autre ? Pouvez-vous percevoir votre propre lumière lorsque vous regardez dans les yeux de plusieurs personnes ? En effet, vous le pouvez ! Le collectif est uni en une seule lumière qui a des facettes de brillance en chacun de vous ! Celui qui vous tient ne peut être divisé, mais il est exprimé en beauté à partir de l’essence du commencement. Vous êtes venus à ce moment du maintenant pour terminer, pour célébrer et recommencer dans des couleurs plus riches, dans la séquence divine et dans la magnificence de la vie telle que vous la connaissiez ! Vous êtes en train de devenir la vérité de votre origine, la joie d’être en vie et le don d’avancer dans la lumière sans perte ! Vous êtes arrivés sur la planète Terre pour transcender les paramètres qui définissent votre existence. Pour faire face à chaque adversité et essuyer vos larmes en vous souvenant, et en souriant ! Vous êtes venus pour approfondir votre connexion avec les aspects entrelacés de votre être qui donnent à votre vie expérience et profondeur, sachant que vous êtes tellement plus que vous ne pouvez l’imaginer. Vous êtes en train de découvrir votre vrai moi en soulevant des montagnes de débris jetés sur vous depuis des directions inconnues pour vous ! De ceux qui exercent un pouvoir sur vous avec de fausses lumières, de faux drapeaux, des guerres planifiées et des pandémies planifiées. Ne vous inquiétez jamais ! Car vous êtes la lumière ! Tu peux te plier mais tu ne te briseras jamais ! Tu es venu à ce rêve éveillé avec de nombreuses âmes afin de rejeter la vision consensuelle de la réalité qui t’a été imposée depuis ta naissance, et de remplacer cette compréhension par une transcendance totale. Tu es le premier à découvrir ton pouvoir et à retourner en majesté, pleinement éveillé, sans avoir à subir l’expérience de la mort ! En effet, le pouvoir des multivers applaudit vos efforts pour affronter l’Ascension avec grâce et joie ! Nous sommes avec vous pour le reste du rêve. Dans l’amour, nous vous rejoignons, maintenant invisibles aux yeux des humains. Soyez forts, gentils et toujours en alerte ! Soulever un autre, c’est se soulever soi-même ! Nous sommes unis dans la vérité ! Nous sommes le COLLECTIF PLEIADIEN ! Nous nous déplaçons et vivons dans le Créateur de toute lumière ! ELAKO Nous t’aimons tellement ! 384 Retrouvez-moi sur Odysee, Telegram et GETTR – Ce contenu ainsi que les informations et les opinions qui y sont exprimées sont ceux de leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement mon opinion.
LeRevenu de Solidarité Active 36% de non-recours : Le RSA est un minima social conçu pour assurer à chacun un moyen de subsistance. L’Aide Complémentaire à la Santé entre 57 et 70% de non-recours : L’ACS est une aide pour souscrire à une mutuelle à prix réduit, accessible aux personnes possédant de faibles ressources.
Passer au contenu ACCUEILDÉFINITION DE L’ASSERTIVITÉCONTACT Définition et utilité de l’assertivité Définition et utilité de l’assertivité Être assertif est une aptitude qui renvoie au comportement social de l’individu et à sa manière de communiquer, dans les milieux familial et professionnel. Souvent injustement confondu avec l’agression, les individus assertifs ont l’intention de n’être ni passifs, ni agressifs, dans leurs relations avec les autres personnes. Bien que chacun agisse de façon passive ou agressive de temps en temps, ces réactions résultent, dans la plupart des cas, d’un manque de confiance en soi et, constituent donc, des expressions inconvenantes dont les gens n’ont pas vraiment besoin. Le défaut d’assertivité peut être vu comme une utilisation inadéquate de nos capacités de communication, tandis que le fait d’être assertif doit être considéré comme un comportement équilibré, car il consiste à être ni passif, ni agressif. Quelle définition peut-on donner à l’assertivité ? Comment ce comportement se distingue-t-il des autres ? Comment être assertif ? Quels en sont les avantages ? Ce sont autant de question auxquelles nous allons tenter de répondre ici. Qu’est-ce que l’assertivité ? Bien que n’étant pas encore admis et défini par l’académie française, l’assertivité peut avoir pour acception la capacité d’exprimer ses sentiments et d’affirmer ses droits, tout en respectant les sentiments et les droits des autres. La communication assertive consiste à exprimer de façon claire et directe des sentiments et besoins aux autres, sans pour autant chercher à les frustrer ou à les offusquer, de façon intentionnelle. Bien que le comportement assertif soit naturel chez certaines personnes, cette habileté peut être apprise. Les gens qui ont maîtrisé cette capacité à être assertif ont la possibilité de réduire les niveaux et les fréquences de conflits interpersonnels dans leurs vies, réduisant ainsi une source importante de tension. En d’autres termes, l’assertivité désigne le fait de défendre vos droits personnels et d’exprimer vos pensées, vos sentiments et vos convictions de façons directe, honnête, ferme et appropriée. Et cela, tout en respectant toujours, les pensées, les sentiments et les convictions des autres personnes. Etre assertif permet à un individu d’agir dans ses meilleurs intérêts, de se défendre sans inquiétude indue, d’exprimer des sentiments honnêtes de façon confortable et d’exprimer des droits personnels sans nier les droits d’autrui. De façon commune, être assertif c’est savoir dit non ou oui, quand vous estimez qu’il le faut, de façon ferme, et assumer en toute conscience les conséquences. Par conséquent, les personnes assertives possèdent d’excellentes qualités de communication interpersonnelles et sont animées par une recherche permanente de franchise et de respect mutuel, dans toutes leurs actions et paroles, avec toutes les personnes qui sont en relations avec elles. Distinguer l’assertivité de l’agressivité ou de la passivité Quelquefois les gens confondent l’agressivité avec l’assertivité, en voyant que ces deux types de comportement impliquent de défendre ses droits et d’exprimer ses besoins. La différence clé entre les deux styles est que, tandis que les personnes agressives cherchent à faire mal aux personnes qui sont en face d’elles, les individus se comportant de façon assertive, s’exprimeront de façon à respecter leurs interlocuteurs. Les personnes assertives supposent le meilleur des gens, respectent et recherchent des avantages mutuels dans leurs relations. Par contre, les individus se comportant agressivement auront tendance à employer des techniques qui sont irrévérencieuses, manipulatrices, rabaissantes ou abusives. Ils formulent des hypothèses négatives sur les motivations des autres et pensent en termes de représailles, ou ne pensent pas du tout, au point de vue des autres. Ils gagnent au détriment des autres et créent des conflits inutiles. Quant aux individus passifs, ils ne savent pas suffisamment communiquer leurs sentiments et leurs besoins aux autres. Ils ont tendance à tellement craindre les conflits, qu’ils acceptent de ne pas exprimer leurs besoins et gardent leurs sentiments enfouis, tout au fond d’eux, pour soit disant avoir la paix ». Ils permettent aux autres de se sentir mieux à leur détriment, pensant ainsi faire du bien à tout le monde. Mais cela n’est qu’un leurre, car tout le monde est perdant dans ce genre de comportement, tant la personne passive que son interlocutrice. Devenir plus assertif Le premier pas, est de jeter regard honnête sur vous-même et de répondre aux questions suivantes, pour apprécier votre degré d’assertivité acceptez-vous difficilement les critiques constructives ? Dites-vous oui » alors que vous pensez non », rien que pour éviter les problèmes et les conflits ? Avez-vous des difficultés à exprimer vos divergences d’opinions ? Les gens ont-ils tendance à se sentir aliénés par votre style de communication quand vous êtes en profond désaccord avec eux ? Vous sentez-vous attaqués quand quelqu’un a une opinion différente de la vôtre ? Si vous avez répondu à oui à plusieurs de ces questions, c’est qu’à coup sûr, vous êtes loin d’être une personne assertive. La prochaine étape consistera donc à opérer un travail sur votre personne, pour obtenir des oui » simultanés, en guise de réponses à toutes ces interrogations. En quoi l’assertivité est-elle utile ? La communication assertive présente de nombreux avantages et non des moindres. L’assertivité peut renforcer vos rapports interpersonnels, en réduisant la tension des conflits et en vous fournissant le soutien social qu’il vous faut, pour faire face aux temps difficiles. Dire poliment non aux demandes excessives des autres vous permettra d’éviter de surcharger votre programme et promouvoir un équilibre dans votre vie. La communication assertive peut vous aider aussi à gérer la famille, les amis et les collègues plus facilement, en réduisant le drame et la tension. Le fait d’être assertif impacte beaucoup d’aspects de votre vie. Les personnes assertives ont tendance à avoir moins de conflits dans leurs relations avec les autres, ce qui se traduit par beaucoup moins de tension dans leurs vies. Elles reçoivent une meilleure écoute à leurs sentiments et une réelle adhésion à leurs besoins. Ayant ainsi des rapports plus forts et plus francs avec les autres, elles subissent moins de frustrations dues aux sentiments de refoulement ou au renfrognement, et en font subir également moins aux autres. Ce qui leur garanti une santé meilleure et un défaut d’anxiété. De façon contrastée avec cela, l’agressivité a tendance à aliéner les autres et créer des tensions inutiles. Ceux qui subissent un comportement agressif auront tendance à éviter l’individu agressif, tout naturellement. Au fil des années, les gens qui se comportent agressivement vont constater l’amaigrissement de leur tissu relationnel et vont recevoir très peu de soutien social. Ironiquement, ils ne pensent pas toujours que cela est la conséquence de leur propre comportement, et ont plutôt le sentiment d’être les victimes. Les gens passifs ont l’intention d’éviter le conflit en évitant la communication de leurs besoins et sentiments, mais ce comportement endommage leurs rapports avec les autres à la longue. Ils peuvent avoir l’impression d’être des victimes, mais continuer à éviter la confrontation, devenant de plus en plus furieux à l’intérieur, jusqu’à ce qu’ils disent finalement quelque chose. Et quand c’est le cas, avec une telle agressivité que c’est le chaos total. L’autre partie ne se doute de rien jusqu’à ce que l’individu autrefois passif explose pratiquement ! Souvent elle n’est même pas la véritable coupable, mais l’individu passif, à ce stade en veut à toute la communauté. Sur Assertivité et Comportements Assertifs, vous trouverez de nombreux conseils pour développer des comportements assertifs et améliorer vos relations interpersonnelles. Nous vous souhaitons une bonne visite sur notre site ! administration2020-12-19T025623+0100 Articles similaires
Je ne savais pas nager” : Tom Cruise avait le Top Gun : Maverick Cast Scared For Their Life With the Intense Under Water Survival Training cinéma de jour. Le film d’action/aventure réalisé par Joseph Kosinski a non seulement brisé les barrières dans le monde de la cinématographie, mais a également redéfini ce qui est possible. Le
AuteurMessageliliyaActif Member Nombre de messages 116Localisation chez moiEmploi étudiante en medecineDate d'inscription 16/11/2007Sujet je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1540 on ne comprend rien au tableau du patient c’est une embolie pulmonaire jusqu’à la preuve du contraire » ZEMSKGrand Manitou Nombre de messages 5974Localisation AlgerEmploi étudiantLoisirs S'allongerDate d'inscription 25/07/2006Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1751 Quoi ??? DreamerLegendary MemberNombre de messages 1758Date d'inscription 28/09/2006Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1849 c ce qui etait ecrit au tableau?? _________________les feuilles mortes se ramassent à la pelle, les souvenirs et les regrets aussi M FreudLegendary Member Nombre de messages 1843Date d'inscription 29/11/2007 DreamerLegendary MemberNombre de messages 1758Date d'inscription 28/09/2006Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1856 aaaah, le tableau clinique d'une embolie pulmonaire?? c facile, elle demande ça à tonton google _________________les feuilles mortes se ramassent à la pelle, les souvenirs et les regrets aussi liliyaActif Member Nombre de messages 116Localisation chez moiEmploi étudiante en medecineDate d'inscription 16/11/2007Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1919 c une information ke m'a donné mon profje vous la donne!!! faites en ce ke vous voulez! M FreudLegendary Member Nombre de messages 1843Date d'inscription 29/11/2007Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1942 liliya a écrit c une information ke m'a donné mon profje vous la donne!!! faites en ce ke vous voulez! tu devrai renommer ton topic Jusqu'à preuve du contraire j'en ai qq unes moi aussi vous voulez que je les poste liliyaActif Member Nombre de messages 116Localisation chez moiEmploi étudiante en medecineDate d'inscription 16/11/2007Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1944 M FreudLegendary Member Nombre de messages 1843Date d'inscription 29/11/2007Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 1955 alors, une en pediatrie voila Chez l’enfant, une occlusion intestinale fébrile est une appendicite aiguë jusqu’à preuve du contraire et chez l'adulte quesque on dit liliyaActif Member Nombre de messages 116Localisation chez moiEmploi étudiante en medecineDate d'inscription 16/11/2007Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 2116 chez l'adulte......................vas y j'attends la suite lol ZEMSKGrand Manitou Nombre de messages 5974Localisation AlgerEmploi étudiantLoisirs S'allongerDate d'inscription 25/07/2006Sujet Re je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus! Ven 15 Fév - 2216 Ce topic existe déjà !!!Et pour l'embolie pulmonaire, le diagnostic est facile c'est juste qu'on y pense pas souvent, c'est des signe cardio-vasculaires droits aigus, Dyspnée, turgescence des jugulaires, reflux hépato jugulaires, parfois même douleurs thoracique. Le terrain du patient est souvent révélateur, Post partum, alitement prolongé, post op en orthopédie ...etcSi tu réussis à éliminer un IDM droit ECG et une tamponnade Echo tu peux dire que tu as le diagnostic Contenu sponsorisé je ne le savais pas, peut etre ke vous n'en plus!
Etsi l'on refuse le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez le vôtre. Nul en effet n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne sait pas en donner aux autres. Chacun d'entre nous recèle une part de beauté, il suffit de la faire rayonner
LACLOS LES LIAISONS DANGEREUSES LECTURES [Après avoir félicité Valmont de sa prudence dans ses manœuvres, la marquise doute d'abord que Mme de Tourvel puisse déjà lui succomber.] Mais la véritable école est de vous être laissé aller à écrire. Je vous défie à présent de prévoir où ceci peut vous mener. Par hasard, espérez-vous prouver à cette femme qu'elle doit se rendre ? Il me semble que ce ne peut être là qu'une vérité de sentiment, et non de démonstration; et que pour la faire recevoir, il s'agit d'attendrir et non de raisonner; mais à quoi vous servirait d'attendrir par lettres, puisque vous ne seriez pas là pour en profiter ? Quand vos belles phrases produiraient l'ivresse de l'amour, vous flattez-vous qu'elle soit assez longue pour que la réflexion n'ait pas le temps d'en empêcher l'aveu ? Songez donc à celui qu'il faut pour écrire une lettre, à celui qui se passe avant qu'on la remette; et voyez si surtout une femme à principes comme votre Dévote peut vouloir si longtemps ce qu'elle tâche de ne vouloir jamais. Cette marche peut réussir avec les enfants, qui, quand ils écrivent " je vous aime ", ne savent pas qu'ils disent " je me rends ". Mais la vertu raisonneuse de Madame de Tourvel me paraît fort bien connaître la valeur des termes. Aussi, malgré l'avantage que vous aviez pris sur elle dans votre conversation, elle vous bat dans sa lettre. Et puis, savez-vous ce qui arrive ? par cela seul qu'on dispute, on ne veut pas céder. A force de chercher de bonnes raisons, on en trouve; on les dit; et après on y tient, non pas tant parce qu'elles sont bonnes que pour ne pas se démentir. De plus, une remarque que je m'étonne que vous n'ayez pas faite, c'est qu'il n'y a rien de si difficile en amour que d'écrire ce qu'on ne sent pas. Je dis écrire d'une façon vraisemblable ce n'est pas qu'on ne se serve des mêmes mots; mais on ne les arrange pas de même, ou plutôt on les arrange, et cela suffit. Relisez votre lettre il y règne un ordre qui vous décèle à chaque phrase. Je veux croire que votre Présidente est assez peu formée pour ne s'en pas apercevoir mais qu'importe ? l'effet n'en est pas moins manqué. C'est le défaut des romans; l'auteur se bat les flancs pour s'échauffer, et le lecteur reste froid. Héloïse est le seul qu'on en puisse excepter; et malgré le talent de l'auteur, cette observation m'a toujours fait croire que le fonds en était vrai. Il n'en est pas de même en parlant. L'habitude de travailler son organe y donne de la sensibilité; la facilité des larmes y ajoute encore l'expression du désir se confond dans les yeux avec celle de la tendresse; enfin le discours moins suivi amène plus aisément cet air de trouble et de désordre, qui est la véritable éloquence de l'amour; et surtout la présence de l'objet aimé empêche la réflexion et nous fait désirer d'être vaincues. [...] De ..., ce 24 août 17** L'étude de cette lettre pourra mettre d'abord en valeur la nature pédagogique de la relation que Mme de Merteuil instaure entre elle et Valmont — les indices épistolaires sont caractérisés par un ton généralement injonctif les impératifs, les questions rhétoriques y foisonnent; les modalisateurs de la certitude accroissent encore cette impression la marquise s'exprime souvent par maximes et autres formes sentencieuses; — l'utilisation du présent de vérité générale et du pronom indéfini efface souvent la personne de l'expéditrice au profit d'une argumentation générale où domine l'argument d'autorité. Cette éducation prône la nécessité de la parole dans l'entreprise amoureuse et dénie à la lettre toute valeur stratégique. Cette conviction toute socratique qui condamne le caractère figé et artificiel de l'écrit ne peut manquer de surprendre dans un roman épistolaire où l'expéditrice elle-même use de toutes les ressources de la lettre. L'étude pourra ensuite mieux souligner en quoi ce passage donne, comme en abyme, une définition de la lettre qui vaut pour tout le roman — ce discours est constant chez la marquise elle pourra répondre de façon narquoise à une lettre d'amour que lui envoie Danceny et brocarder l'inefficacité de ses formules sentimentales et affectées lettre CXXI. La lettre favorise l'épanchement amoureux de l'expéditeur mais aussi la réflexion du destinataire comment séduire, alors que l'éloignement interdit le trouble et le désordre qui sont "la véritable éloquence de l'amour" ? — il est plus surprenant encore de voir la marquise condamner l'usage amoureux de la lettre au nom de la sincérité. Les reproches qu'elle adresse à Valmont sont en effet autant guidés par l'incapacité de celui-ci à dissimuler sa froideur rationnelle que par la conviction plus générale que l'amour est "une vérité de sentiment, non de démonstration". C'est dire que la lettre, parce qu'elle exige du temps et n'instaure que des rapports débarrassés de la présence physique, favorise l'exercice de l'intelligence et la manipulation calculatrice. C'est à ce titre que la marquise en use, et le roman lui-même donne le pas à ce type d'échanges les seules lettres réellement sentimentales sont ridicules ou trahissent un délire qui les prive de destinataire ainsi de la lettre CLXI dictée par Mme de Tourvel à sa femme de chambre et non envoyée. [Mme de Merteuil vient d'évoquer ces femmes sensibles qui "ne craignent pas de confier des preuves de leur faiblesse à l'objet qui les cause."] Mais moi, qu'ai-je de commun avec ces femmes inconsidérées ? quand m'avez-vous vue m'écarter des règles que je me suis prescrites, et manquer à mes principes ? je dis mes principes, et je le dis à dessein car ils ne sont pas comme ceux des autres femmes, donnés au hasard, reçus sans examen et suivis par habitude, ils sont le fruit de mes profondes réflexions; je les ai créés, et je puis dire que je suis mon ouvrage. Entrée dans le monde dans le temps où, fille encore, j'étais vouée par état au silence et à l'inaction, j'ai su en profiter pour observer et réfléchir. Tandis qu'on me croyait étourdie ou distraite, écoutant peu à la vérité les discours qu'on s'empressait à me tenir, je recueillais avec soin ceux qu'on cherchait à me cacher. Cette utile curiosité, en servant à m'instruire, m'apprit encore à dissimuler forcée souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux de ceux qui m'entouraient, j'essayai de guider les miens à mon gré; j'obtins dès lors de prendre à volonté ce regard distrait que vous avez loué si souvent. Encouragée par ce premier succès, je tâchai de régler de même les divers mouvements de ma figure. Ressentais-je quelque chagrin, je m'étudiais à prendre l'air de la sérénité, même celui de la joie; j'ai porté le zèle jusqu'à me causer des douleurs volontaires, pour chercher pendant ce temps l'expression du plaisir. Je me suis travaillée avec le même soin et plus de peine, pour réprimer les symptômes d'une joie inattendue. C'est ainsi que j'ai su prendre sur ma physionomie cette puissance dont je vous ai vu quelquefois si étonné. J'étais bien jeune encore, et presque sans intérêt mais je n'avais à moi que ma pensée, et je m'indignais qu'on pût me la ravir ou me la surprendre contre ma volonté. Munie de ces premières armes, j'en essayai l'usage non contente de ne plus me laisser pénétrer, je m'amusais à me montrer sous des formes différentes; sûre de mes gestes, j'observais mes discours; je réglai les uns et les autres, suivant les circonstances, ou même seulement suivant mes fantaisies dès ce moment, ma façon de penser fut pour moi seule, et je ne montrai plus que celle qu'il m'était utile de laisser voir. Ce travail sur moi-même avait fixé mon attention sur l'expression des figures et le caractère des physionomies; et j'y gagnai ce coup d'œil pénétrant, auquel l'expérience m'a pourtant appris à ne pas me fier entièrement; mais qui, en tout, m'a rarement trompée. Je n'avais pas quinze ans, je possédais déjà les talents auxquels la plus grande partie de nos politiques doivent leur réputation, et je ne me trouvais encore qu'aux premiers éléments de la science que je voulais acquérir. [...] De ..., ce 20 septembre 17** L'étude repérera d'abord l'exposé d'une véritable science de l'hypocrisie — ce que le personnage confie ici à Valmont concerne une véritable discipline, manifeste dans le champ lexical de l'étude et de l'effort qui organise tout le passage "règles, principes, réflexions, ouvrage, réfléchir, tâchais, travaillée, travail, science"... Au rebours d'une éducation sentimentale, il s'agit ici de l'apprentissage du paraître et de l'hypocrisie. — les termes du regard et de l'apparence sont pour cela dominants "attention, yeux, regard, air, physionomie, expression, observais, coup d'œil"... Ces propos de la marquise se comprennent mieux en effet par rapport à une société mondaine où les individus sont toujours en représentation et donc susceptibles de livrer aux autres des témoignages de faiblesse. Il s'agit ainsi d'apprendre à mentir pour satisfaire à son orgueil et à son exigence de liberté. Ce souci est particulièrement décuplé chez Mme de Merteuil, qui n'imagine la vie sociale qu'en termes de lutte. Mais il s'agit dans tous les cas d'une lutte intellectuelle où les victoires sont savourées en silence. La duplicité, présentée ici comme un art de vivre, vient enrichir les jugements sommaires ou platement moralisateurs que pourrait inspirer le personnage. Héroïne de la volonté, Mme de Merteuil tire sa grandeur des masques qu'elle oppose cyniquement à la comédie mondaine où le regard de l'autre est une menace constante d'aliénation. Sadien, le personnage est aussi sartrien dans la construction hautaine de sa liberté. L'étude pourra ensuite analyser le "culte du moi" revendiqué par cette lettre fondamentale — on repère des traces manifestes d'orgueil dans l'opposition constante entre le "je" parfois rehaussé du "moi seule" ou du "moi-même" et le groupe social, significativement désigné ici par les indéfinis "on", "les uns, les autres"; — cet orgueil est sensible aussi dans le mépris pour les autres, et particulièrement pour les femmes sensibles ou faibles, ce qui révèle la part essentielle qu'occupe la revendication féministe - et peut-être quelque expérience humiliante - dans l'exposé de la marquise; — "je suis mon ouvrage" la phrase célèbre oppose la liberté humaine à tous les déterminismes, divins et sociaux. La lettre porte souvent trace d'une sorte d'ascèse, véritablement stoïque, dans la patiente conquête d'une maîtrise parfaite de son image "j'ai porté le zèle jusqu'à me causer des douleurs volontaires". Mais cet exercice reste guidé par la jouissance de n'obéir plus qu'à ses propres valeurs. La lettre accuse ce double registre de joie "sérénité, joie, plaisir, je m'amusais, fantaisies" et de souffrance "chagrins, douleurs, peine".... La place de cette lettre n'est donc pas indifférente au beau milieu du roman, elle vient enrichir les perspectives et les attentes. Mme de Merteuil s'y pose en souveraine appelée à ordonner selon sa volonté les relations des autres personnages. Elle incarne aussi devant Valmont, dont les stratégies sont essentiellement guidées par la sensualité, la hauteur glacée d'une cérébralité impitoyable. [Séduite dans la nuit par Valmont, Cécile confie son désarroi le lendemain à Mme de Merteuil.] Ah ! mon Dieu, Madame, que je suis affligée ! que je suis malheureuse ! Qui me consolera dans mes peines ? qui me conseillera dans l'embarras où je me trouve ? Ce M. de Valmont... et Danceny ! non, l'idée de Danceny me met au désespoir... Comment vous raconter ? comment vous dire ?... Je ne sais comment faire. Cependant mon cœur est plein... Il faut que je parle à quelqu'un, et vous êtes la seule à qui je puisse, à qui j'ose me confier. Vous avez tant de bonté pour moi! Mais n'en ayez pas dans ce moment-ci; je n'en suis pas digne que vous dirai-je ? je ne le désire point. Tout le monde ici m'a témoigné de l'intérêt aujourd'hui... ils ont tous augmenté ma peine. Je sentais tant que je ne le méritais pas ! Grondez-moi au contraire; grondez-moi bien, car je suis bien coupable mais après, sauvez-moi; si vous n'avez pas la bonté de me conseiller, je mourrai de chagrin. Apprenez donc... ma main tremble, comme vous voyez, je ne peux presque pas écrire, je me sens le visage tout en feu... Ah ! c'est bien le rouge de la honte. Hé bien ! je la souffrirai; ce sera la première punition de ma faute. Oui, je vous dirai tout. Vous saurez donc que M. de Valmont, qui m'a remis jusqu'ici les lettres de M. Danceny, a trouvé tout d'un coup que c'était trop difficile; il a voulu avoir une clef de ma chambre. Je puis bien vous assurer que je ne voulais pas; mais il a été en écrire à Danceny, et Danceny l'a voulu aussi; et moi, ça me fait tant de peine quand je lui refuse quelque chose, surtout depuis mon absence qui le rend si malheureux, que j'ai fini par y consentir. Je ne prévoyais pas le malheur qui en arriverait. Hier, M. de Valmont s'est servi de cette clef pour venir dans ma chambre, comme j'étais endormie; je m'y attendais si peu, qu'il m'a fait bien peur en me réveillant; mais comme il m'a parlé tout de suite, je l'ai reconnu, et je n'ai pas crié; et puis l'idée m'est venue d'abord qu'il venait peut-être m'apporter une lettre de Danceny. C'en était bien loin. Un petit moment après, il a voulu m'embrasser; et pendant que je me défendais, comme c'est naturel, il a si bien fait, que je n'aurais pas voulu pour toute chose au monde... mais, lui voulait un baiser auparavant. Il a bien fallu, car comment faire ? d'autant que j'avais essayé d'appeler, mais outre que je n'ai pas pu, il a bien su me dire que, s'il venait quelqu'un, il saurait bien rejeter toute la faute sur moi; et, en effet, c'était bien facile, à cause de cette clef. Ensuite il ne s'est pas retiré davantage. Il en a voulu un second; et celui-là , je ne savais pas ce qui en était, mais il m'a toute troublée; et après, c'était encore pis qu'auparavant. Oh ! par exemple, c'est bien mal ça. Enfin après... , vous m'exempterez bien de dire le reste; mais je suis malheureuse autant qu'on puisse l'être. [...] Du Château de ..., ce 1er octobre 17**. L'étude pourra d'abord analyser dans les formes de la lettre tous les signes de la faiblesse — l'écriture de Cécile "le petit radotage" dont parle Valmont dans la lettre CXV correspond tout à fait ici à l'analyse que Mme de Merteuil lui adressait dans la lettre CV Vous écrivez toujours comme un enfant. Je vois bien d'où cela vient; c'est que vous dites tout ce que vous pensez et rien de ce que vous ne pensez pas. Cette lettre révèle en effet cette faiblesse impardonnable qui consiste à confier son désarroi les nombreuses exclamations, les soupirs, les hésitations comme l'abus des points de suspension en témoignent. — l'autre signe de faiblesse est dans la tension excessive du style vers la destinataire les nombreuses injonctions rendent plus pressante la demande de conseils et marquent l'abandon total que Cécile fait de son sort à celle qu'elle a l'imprudence de choisir comme confidente. C'est pour ces raisons-là que le lecteur n'a jamais l'occasion de s'émouvoir de ses plaintes. Bien au contraire, les expressions hyperboliques ou niaises renforcent ce même mépris que Mme de Merteuil a manifesté à l'égard de la jeune fille dans la lettre CVI Je ne connais rien de si plat que cette facilité de bêtise qui se rend sans savoir ni comment ni pourquoi, uniquement parce qu'on l'attaque et qu'elle ne sait pas résister. L'étude précisera ensuite comment le lecteur est rendu complice, ce qui constitue le vrai scandale — pour ces raisons, le jeu des points de vue fait du lecteur un complice de Mme de Merteuil. Il ne peut que savourer en effet comme elle les expressions par lesquelles Cécile manifeste sa confiance à la marquise "vous êtes la seule à qui je puisse, à qui j'ose me confier. Vous avez tant de bonté pour moi"! — le lecteur ne peut non plus rester insensible au caractère érotique du passage, qui lui fait désirer connaître la suite au lieu de s'émouvoir de cette détresse si niaisement étalée! Les effets dilatoires points de suspension, exclamations n'ont pour effet que de retarder le récit et d'aviver davantage cette curiosité légitime avec laquelle Cécile joue peut-être inconsciemment. — le lecteur enfin s'avise vite que derrière le désarroi de Cécile se cache une sensualité qui ne demande qu'à s'épanouir. Cécile n'est retenue encore que par des scrupules moraux de convention "Oh! par exemple, c'est bien mal ça!", mais sa lettre trahit un abandon précoce au plaisir qui est la raison essentielle de son trouble. Mme de Merteuil saura le repérer dans le lettre CV Allons, un peu de bonne foi. Là ce trouble [...], était-ce bien la honte qui le causait ? ou si c'était le plaisir ? Ainsi cette lettre marque toute l'ambiguïté morale du roman. Comme dans le Dom Juan de Molière, le lecteur n'a décidément pas envie de se mettre du côté d'une vertu si hypocritement représentée. A l'inverse, le libertin se pare de toutes les séductions de l'intelligence. Là est peut-être en effet le vrai scandale du roman qui nous invite à mépriser l'innocence Cécile est, dira Mme de Merteuil, de ces femmes qui ne sont absolument que des machines à plaisir, et Baudelaire ira plus loin encore en la jugeant tout près de l'ordure originelle » Projet d'étude de 1856.
ctdhd.